Les drames sont à l’Histoire ce que les mots sont à la pensée, on ne sait jamais s’ils la façonnent ou s’ils se bornent à la refléter.
Amin Maalouf
Extrait de Le Premier Siècle après Béatrice, Éditions Grasset, 1992
Sitaudis.fr : Revue off
Là, il y aura oracle de Bernard Noël par François Huglo 27/04/2024
Les fantômes comme les chats choisissent leurs maîtres, Daniel Sangsue par Jacques Barbaut 26/04/2024
Jules Vipaldo, Pour qui sonne le douglas ? par Michael Foucat 24/04/2024
du9 : L'autre bande dessinée
De quoi Astérix et Gaston deviennent-il le nom ? 26/04/2024
Sawako Kabuki 25/04/2024
A Love Letter To The One I Made 24/04/2024
Pour commander ou réserver vos livres, il vous suffit de remplir le formulaire de commande.
Vous pouvez aussi commander par téléphone au : 030 - 280 999 05
de Stéphan Gladieu (Photographie), Wilfried N'Sondé
Éditions
34,00 €
Une série de portraits à la rencontre de "Ndaku ya la vie est belle", collectif d'artistes congolais qui réemploient des déchets pour revisiter des habits traditionnels et dénoncer la pollution industrielle. Un mouvement artistique qui emprunte beaucoup à la démarche de l'Arte Povera, mouvement contestataire de la société de consommation à la fin des années 1960 en Italie.
Des photographies pour une prise de conscience salutaire sur l’accumulation inexorable des déchets qui dénaturent la planète. Sous l'objectif de Stéphan Gladieu, on découvre des personnages fantasmagoriques recouverts de toutes sortes de détritus qui deviennent de splendides costumes aussi intrigants qu'étonnants ; des Homo Détritus, fabuleusement grotesques et terriblement évocateurs d'un mal moderne : celui de la vanité de la surconsommation.